Ces informations ont été recueillies dans le cadre d’une enquête sur la gestion des risques liés aux voyages menée auprès de 674 voyageurs. L’enquête complète a examiné les expériences des acheteurs de voyages en matière de création et de gestion des programmes de gestion des risques liés aux voyages de leur organisation, y compris les mesures susceptibles d’améliorer la santé, la sécurité et la sûreté des voyageurs d’affaires en déplacement.
Ce qui préoccupe régulièrement les femmes
Cinquante pour cent (50 %) des femmes interrogées s’inquiètent le plus des crimes violents tels que le harcèlement sexuel, les agressions et les enlèvements lors de leurs déplacements professionnels, mais seulement 9 % d’entre elles emportent des outils d’autodéfense lorsqu’elles voyagent. Quarante-quatre pour cent (44 %) s’inquiètent des situations d’urgence en matière de santé publique, qui pourraient être la conséquence directe de la pandémie de COVID-19.
Les endroits où les femmes se sentent le moins en sécurité
Soixante pour cent (60 %) des femmes se sentent le moins en sécurité lorsqu’elles se promènent dans la rue. Les trois expériences les moins sûres sont la conduite dans des endroits inconnus (56 %) et l’utilisation des transports publics (47 %), des taxis ou des services de covoiturage (47 %). Soixante-quatre pour cent (64 %) des femmes interrogées évitent de marcher la nuit et 80 % évitent de porter des objets de valeur.
Solutions pour la sécurité
Les entreprises doivent s’assurer que les voyageurs connaissent la politique de gestion des risques liés aux voyages et les mesures de réaction en cas de crise. Pour atténuer les inquiétudes des voyageurs en matière de sécurité, il convient de leur proposer une formation à la sécurité en voyage qui couvre la prise de conscience de la situation, la sécurité routière et l’étiquette culturelle, ainsi que des briefings et des informations sur la destination avant le voyage.
