Christine : Considérez ceci : Les risques liés aux voyages évoluent au fil du temps, tout comme les programmes mis en place pour protéger une organisation et son personnel. Une stratégie de gestion des risques élaborée il y a cinq ans n’est peut-être pas assez solide pour l’environnement de risque d’aujourd’hui. La pandémie nous l’a appris. La maladie est toujours un danger imminent. Mais il en va de même pour les conditions météorologiques extrêmes, les guerres civiles, les enlèvements et le terrorisme. Pensez aux menaces de cybersécurité et aux voyages vers des destinations à haut risque. Votre plan et votre personnel sont-ils préparés à cela ?
Lise : En parlant de personnes, le bien-être doit être une priorité absolue, car les personnes qui ne se sentent pas en sécurité et dont on ne se préoccupe pas ne resteront probablement pas au sein de votre entreprise. Cela peut nuire à leur réputation, augmenter les coûts et avoir un impact négatif sur les performances de l’entreprise. En gérant correctement les risques, on rassure les employés en leur montrant que leur santé, leur sécurité et leur sûreté sont importantes pour leur employeur.
L’évaluation du programme de sécurité des voyageurs tient compte de ces éléments. Elle porte sur les points suivants
- Quelles sont les politiques en place concernant les risques encourus par les voyageurs ? Les voyageurs en ont-ils connaissance ?
- Qui est responsable des risques liés aux déplacements, c’est-à-dire que certains aspects de la sécurité des voyageurs relèvent du programme de voyage et d’autres de la sécurité de l’entreprise ?
- Quel est le protocole permettant aux voyageurs de demander de l’aide en cours de route ?
- Quel est le protocole pour contacter les voyageurs pendant et après une crise ?
- Les voyageurs ont-ils un devoir de loyauté défini pour contacter l’entreprise pendant et après une crise ? Les voyageurs sont-ils conscients de leurs responsabilités ?
Christine : Passons maintenant à l’expérience. Lise et moi nous sommes rendues au siège de l’organisation aux États-Unis pour un atelier stratégique d’une journée. Le personnel qui participe à l’atelier varie d’une organisation à l’autre, mais il comprend généralement le département des voyages, le département de la sécurité, le département des ressources humaines, et parfois aussi la gestion des risques, les finances, les assurances, les achats et les cadres supérieurs. L’évaluation du programme de sécurité des voyageurs constitue souvent la première occasion pour toutes les parties prenantes de se rencontrer pour discuter de leur programme de risques liés aux voyages.
Lise: « Au cours de l’atelier d’une journée, nous avons évalué l’efficacité du programme de sécurité des voyageurs et les résultats obtenus : Au cours de l’atelier d’une journée, nous avons évalué leur programme de gestion des risques liés aux voyages en fonction de 11 domaines clés qui englobent un programme efficace de gestion des risques liés aux voyages. Nous avons également procédé à une simulation de crise afin d’examiner le processus de gestion des incidents.
Bien que la méthodologie d’évaluation soit exclusive et développée par les experts en risque voyage d’Advito, il est important de noter qu’elle s’aligne sur la norme ISO 31030, qui est le guide mondial publié par l’Organisation internationale de normalisation, avec le premier guide en son genre sur le risque voyage pour les organisations. À la fin de l’atelier, nous avons fourni aux parties prenantes un aperçu préliminaire des résultats, en donnant un aperçu de haut niveau de ce que l’organisation fait de bien et des opportunités de croissance.
Christine : Dans les semaines qui ont suivi l’atelier, nous nous sommes plongés dans les données recueillies au cours de la session. Il est apparu clairement que le client avait trouvé le processus d’évaluation utile, en particulier lorsqu’il l’a aidé à identifier ce qu’il faisait bien et les domaines dans lesquels il pourrait avoir besoin d’un soutien supplémentaire.
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